On se souvient tous de cette affaire du réveillon de Cologne, une nuit qui avait donné lieu à de multiples agressions sexuelles. Le scandale était certes dans ces affaire de viol, mais aussi dans la volonté de cacher ce qui s’était passé. Un incroyable mépris du peuple, considéré comme insuffisamment adulte pour en être informé, compte tenu du statut de réfugiés des violeurs.
Lu pour vous dans Présent.
Recrudescence du viol en Allemagne
Mais les choses ne s’améliorent pas dans le pays, et trois affaires viennent coup sur coup de défrayer la chronique.
A Gtirutz, un élève d’une école a été poignardé par un demandeur d’asile irakien scolarisé dans le même établissement. L’agresseur, âgé de 17 ans, a agressé le jeune Allemand pendant la pause-déjeuner. L’auteur de la tentative de meurtre a été arrêté, nonobstant l’argument de pratiques ancestrales dans le pays d’origine.
On vient seulement d’apprendre qu’a Dessau, toujours en Allemagne, quatre Erythréens ont agressé le 16 août dernier une femme de 56 ans et l’ont violée. Les violeurs s’étaient dispersés aux quatre coins de l’Allemagne. Ils ont cependant été retrouvés, confondus, mis sous les verrous.
Ce vendredi, c’est la Bavière qui, à son tour, a connu un fait divers de ce genre. A Flijhenkirchen-Siegertsbrunn, dans l’arrondissement de Munich, une jeune fille de 16 ans, qui était passée devant un centre de réfugiés pour se rendre à la gare, a été suivie par trois hommes. Deux de ces hommes, âgés respectivement de 17 et 27 ans, l’ont violée. Le troisième n’a pas eu le temps de passer à l’acte, du fait de l’arrivée d’un témoin. Les trois hommes ont pris la fuite, mais ils ont été poursuivis et arrêtés.
Ces trois agressions n’ont pas un caractère isolé, elles se répètent ces derniers mois. C’est le site Fdesouche qui rapporte ces informations, d’ailleurs assez peu relayées dans la presse française…
« Des viols qui font le jeu de l’extrême droite »
Le débat qui anime actuellement l’Allemagne porte précisément sur l’information à donner à ces faits. De telles agressions « font le jeu de l’extrême droite » déplorent les médias. Comme si un tel argument pouvait refréner les pulsions criminelles des violeurs !
Constatant le peu de conscience politique des violeurs migrants, les médias préfèrent donc renouer avec la politique de silence ou de négation mise en œuvre la nuit de la Saint-Sylvestre.
Quant aux journaux qui évoquent ces viols en série, ils attirent l’attention sur la « misère sexuelle » de ces bataillons d’hommes, privés de femmes. On peut déjà imaginer une forme de réponse droits-de-l’hommienne consistant à apporter une aide aux vraies victimes, à savoir les migrants, privés d’une vie sexuelle minimum : cela passera sans doute par la prise en charges de prestations de prostituées ou quelque chose de ce genre (si ce n’est déjà le cas…).
Mais ce type de débat indigne nous rappelle que les migrations massives sont le fait d’hommes jeunes, des « réfugiés » qui ne défendent donc pas leur pays, et y laissent femmes, enfants, personnes âgées. Curieux « réfugiés »…
La seule urgence : faire taire ceux qui osent dire la réalité
Enfin, la dernière réponse consiste à faire taire ceux qui osent dire la réalité. Pendant la campagne électorale que vient de vivre l’Allemagne, et qui se terminera dimanche prochain, 2 250 agressions politiques ont été commises. Elles ont été pour l’essentiel le fait de l’extrême gauche ou des islamistes turcs. Et dans la quasi-totalité des cas, les victimes étaient les candidats et supporteurs de l’AFD, le jeune parti anti-immigration.
C’est donc apparemment la seule méthode qui ait été trouvée pour résoudre ce problème.
Francis Bergeron
Présent n°8947 du 19 septembre 2017