Organes : domaine public dorénavant !

On sait que sont déjà dans les clous : une loi pour définir l’enfant comme propriété de l’état, une autre pour les rendre responsables de leur sexualité à 9 ans (plan Onusien vérifiable sur internet), et maintenant, sachez que vos organes sont déjà potentiellement la propriété d’un malade que vous ne connaitrez jamais, car à votre décès, votre corps est devenu une exploitation publique ! On devient fou ! Alors à votre papier à lettre, et refusez !

Lu dans Présent :

Don d’organe désigné volontaire

ob_0c95a1_don-d-organeLa sortie du film Réparer les vivants est l’occasion, dans la presse, de par­ler à nouveau du don d’organe. Et de la nécessité d’être en faveur et de pratiquer, si l’occasion s’en présente, ce geste « altruiste ». Et de parler de la nouveauté en matière de don d’organes. Car, à compter du 1er janvier prochain, vous comme moi serons automatiquement considérés comme donneurs, alors que jusqu’ici nous n’étions que donneurs « présumés ». Si vous ne dites rien et ne manifestez pas votre désapprobation, le corps médical sera susceptible de vous prélever vos organes.

slide_5Pour manifester ce désaccord, il faut s’inscrire sur le registre national des refus. Aujourd’hui, 150 000 personnes sont inscrites sur ce fameux registre. Il est également possible de le stipuler sur un écrit signé et daté.

Présent, n° 8731, 9 novembre 2016

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