Le professeur Raoult et les « anticorps facilitants »

L'actualité en bref

Le professeur Raoult soulève ordinairement les passions. Il arrive également qu’il soulève des lièvres. Comme par exemple le 7 janvier, en duplex sur C8. Petit florilège :

« C’est dans les pays où l’on a fait le plus de vaccins qu’il y a le plus de cas. »

« Il y a une chose que les gens n’avaient pas regardé, qui est très importante, c’est le nombre de cas d’infections qui suivent, dans les quinze jours à trois semaines, une injection vaccinale. Et ça c’est probablement dû à un phénomène scientifique qui avait été insuffisamment analysé, et une épidémiologie insuffisamment faite, qui sont les anticorps facilitants, c’est-à-dire qu’il y a des anticorps qui facilitent l’infection, et que leur effet se voit dans les trois semaines qui suivent l’injection. »

« Pour le delta, d’une manière paradoxale, les gens qui étaient vaccinés avaient des charges virales plus importantes que les gens qui n’étaient pas vaccinés. »

Vincent CHABROL

La lecture de cet article extrait du numéro 778 (février 2022) de Lectures Françaises vous est offerte en intégralité. Pour découvrir le  sommaire du numéro et le commander, c’est ICI !
 

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