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La farce du réchauffement climatique : une imposture au service du mondialisme

ByClaude Beauléon

Jan 25, 2018
La farce du réchauffement climatiqueMythe du réchauffement climatique et énergies renouvelables : un enjeu financier pour les multinationales.

3e partie : Les véritables enjeux [1]

Pour finir cette étude, j’ai largement fait appel aux compétences de notre ami Pascal Bernardin qui a produit sur la question une somme définitive que nos lecteurs sont invités à lire ou à relire [2]. Je le citerai plusieurs fois dans cet article. On peut aussi relire avec profit l’étude du même auteur, parue dans L.F. [3] sur l’effet de serre et la révolution écologique. Mes citations en sont issues.

Au-delà du barnum médiatique, des intérêts financiers colossaux

Sous couvert de lutte contre le réchauffement, les fonctionnaires de l’ONU favorisent les multinationales qui cherchent à placer leurs produits, comme par exemple les éoliennes ou les OGM. Éric Schmitt, numéro 2 de Google, par le biais de sa fondation, fait ainsi la promotion des énergies renouvelables dans lesquelles il investit massivement. Bayer et BASF, les géants allemands de la chimie, mettent en place leur « climate program » pour placer leurs produits comme les biocarburants ou les OGM. Shell, BP, ENI, Total souhaitent voir imposer un prix mondial du carbone pour mieux vendre leur énergie propre et garder leur monopole. Bouygues vise à valoriser ses solutions écologiques pour doper son activité.

Le business du climat favorise aussi les arnaques et les escroqueries au CO2. Dans ce domaine, on rappellera le monumental scandale, vite étouffé en France, de l’escroquerie du siècle au crédit carbone, monté par certains membres d’une communauté décidément très organisée et que nous n’avons pas le droit de nommer. Je parle ici de millions d’euros de perte sèche pour l’État. Lors des procès à Paris, certains des accusés étaient d’ailleurs jugés par contumace, puisque ayant la double nationalité, ils se sont réfugiés dans leur patrie de cœur, ce petit état fauteur de guerres depuis 70 ans et qui refuse de les extrader [4].

Vers l’instauration d’un gouvernement mondial totalitaire

C’est là que réside le véritable projet : politique et idéologique. En gros, l’argument avancé c’est que le changement climatique est un enjeu trop grave pour être laissé aux états. Seule l’instauration d’un gouvernement mondial peut résoudre la crise écologique et permettre de dépasser les égoïsmes nationaux. Voici ce que Pascal Bernardin relevait dans les nombreuses publications et travaux de groupes des différentes antennes de l’ONU :

Finalement, si nous considérons que le temps est arrivé – et il arrivera nécessairement – de créer un organe possédant des pouvoirs législatifs et/ou exécutifs qui ne dépendent pas de l’accord des états pris séparément, il pourra alors devenir nécessaire d’amender la charte de l’ONU pour conférer à l’un de ses principaux organes ou à un organe conçu à cet effet les pouvoirs de coercition que la communauté mondiale est disposée à donner en ce domaine à une institution internationale [5].

Ou encore : […]

[lire la suite dans notre numéro]

Claude BEAULÉON

[1] – Les deux premières parties de ce dossier sont parus dans nos nos 726 et 727 (octobre et novembre 2017).

[2]L’Empire écologique ou la subversion par le mondialisme (Éditions Notre-Dame des Grâces, 1998).

[3] – N° 601-602 (mai-juin 2007).

[4] – Voir à ce sujet l’article de Jacques De Kremer dans notre numéro 726 (octobre 2017).

[5] – Élisabeth Brown Weiss, Environmental Change and International Law, Tokyo, United Nations University Press, 1992, p. 354.

[6]Aspects éducatifs, sociaux et culturels des problèmes de l’environnement et questions de l’information, Nations Unies, Assemblée générale, Stockholm, 5-16 juin 1972.

[7]Commission mondiale sur l’environnement et le développement, notre avenir à tous, Montréal, Éditions du Fleuve, les Publications du Québec, 1989, p. 30.

[8] – Commission des Communautés européennes, 1992.

[9] – Déclaration de Boutros-Boutros Ghali, ancien secrétaire général de l’ONU.

[10] – Éd. Ring, 2015.

Suggestion de livres sur ce thème :

I-Moyenne-27525-co2-un-mythe-planetaire.net
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I-Moyenne-3305-l-imposture-climatique-ou-la-fausse-ecologie.net
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I-Moyenne-30381-le-giec-est-mort-vive-la-science.net
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