World Trade Center : cet épisode a généré deux grandes écoles : les « anti » et les « pro » complot. Comme d’habitude, beaucoup se sont crus autorisés ou soudainement compétents pour juger de la causalité de l’évènement. Ici, l’information provient d’un organisme dont les compétences, de prime abord, ne permettent pas, de remettre en question la légitimité de l’analyse.
Lu dans CIVITAS :
Effondrement… d’un dogme
Il est bien connu que les « tours jumelles » niou-iorquaises se sont effondrées, le 11 septembre 2001, car frappées chacune par un avion terroriste qui a mis le feu, ce qui fit fondre la structure en acier des dites tours. Il faut le croire, c’est un dogme, qui permit aux yanquilles d’attaquer et détruire l’Irak, puis tout le Moyen-Orient. Un « petit » problème, néanmoins, c’est cette troisième tour, située à 200 mètres des « jumelles », qui s’est aussi effondrée, sans avoir été percutée par aucun avion ! Et tout plein d’autres « petites » incohérences, soulevées par des milliers de témoins, ingénieurs, architectes, pompiers, simples citoyens de bon sens, … qui, depuis des années, publient leurs conclusions par écrit, par oral, ou sur internet.
Mais le « gros » problème, c’est cette étude du prestigieux Eu-ropean Physical Sotie, parue dans son magazine Europhysics News de début septembre dernier. Cette institution est tout sauf « complotiste » ; c’est un magazine scientifique renommé dans la communauté des physiciens européens. Considérant que les incendies n’ont pas été assez chauds pour détruire les structures en acier, que les gratte-ciel ont des systèmes d’extinction d’incendie, que les éléments de structure sont protégés par des matériaux ignifuges, que « tout au long de l’histoire, trois gratte-ciel en acier sont connus pour avoir subi des effondrements partiels dus à des incendies, mais jamais un effondrement total », l’étude conclut que ces tours ont bien fait l’objet d’une «démolition contrôlée ».
Maintenant, reste à savoir qui a « contrôlé » cette démolition… Les USA étant le siège du mensonge, on risque d’attendre longtemps.
CIVITAS, n°62, décembre 2016