L’Éducation nationale qu’est ce que c’est ? C’est un amas de cerveaux malades, utopistes et libertaires, qui ont l’outrecuidance de tenter d’apprendre aux parents ce qu’il y a de mieux pour leurs enfants dans le scolaire et ailleurs. C’est aussi une fabrique à crétins où se concoctent les programmes destinés à formater les futurs serviteurs de ce pouvoir maçonnique. Cliquez ICI. Il n’est dès-lors pas étonnant que Belkacem cherche à brider toute initiative basée sur le bon sens et la morale. Alors attendons-nous à de mauvais jours, et souvenons-nous, le combat des années 80 n’a servi à rien..
Lu dans Famille d’abord :
Les écoles hors contrat une nouvelle fois menacées
Voici quelques extraits du communiqué de la Fondation pour l’École sur la réforme relative aux écoles hors contrat préparée par le ministre Najat Vallaud – Belkacem. L’intégralité du communiqué est publiée sur : http://www.liberte-scolaire.com.
Le Ministère de l’Éducation nationale projette de modifier le régime d’ouverture des établissements hors contrat (en passant d’un régime de déclaration d’intention à un régime d’autorisation préalable) et d’imposer désormais à ces établissements, ainsi qu’aux enfants pratiquant l’école à la maison, le respect des programmes de l’école publique, à chaque fin de cycle soit en CE2, 6ème et 3ème. La Fondation pour l’école a été consultée. Elle est tout à fait opposée aux réformes prévues au regard des projets de textes qui lui ont été transmis par le ministère. En effet, les réformes envisagées réduisent drastiquement la liberté d’enseignement comme la liberté d’association, deux principes de rang constitutionnel qui sont au fondement de notre État de droit, sans que les motifs de telles restrictions puissent être saisis avec certitude.
Projet de réforme du régime d’ouverture des écoles hors contrat
Nous exercerons à l’égard des projets de textes en cours d’élaboration toutes les voies de recours possibles. Nous appelons en outre les parlementaires à refuser de se dessaisir de leurs responsabilités sur un sujet qui touche gravement aux libertés fondamentales et à rejeter en conséquence l’amendement habilitant le gouvernement à procéder par ordonnance.
Projet de réforme du contrôle du contenu des connaissances acquises par les enfants
Nous dénonçons le caractère illégal d’un tel projet de décret au regard des dispositions législatives pertinentes du Code de l’éducation et du caractère constitutionnel de la liberté d’enseignement, laquelle comprend à l’évidence la liberté des programmes (cf. l’article L442-3 du Code de l’éducation, par exemple pour le primaire). Par conséquent, s’il devait être pris, nous contesterions la légalité du décret devant le Conseil d’État et nous en demanderons la suspension immédiate de l’exécution.
Nous déplorons que le Ministère prenne l’initiative de rouvrir la guerre scolaire. Alors que 40 % des enfants sont en échec scolaire en fin CM2, nous ne voyons pas ce que la France gagnerait à supprimer les alternatives pédagogiques qu’offrent les écoles indépendantes à ses enfants.
Nous invitons donc le gouvernement à renoncer à ses projets de réforme.
Famille d’abord, n°30, juin 2016, p.10.