L’Islam a le sens de l’humour !
Écoutez ce malin petit mahométan utiliser, savamment, la traîtresse dialectique des illuminés de 89, pour introduire une fausse légitimité de la revendication musulmane, au nom des droits de l’homme que l’Islam méprise pourtant (à juste titre), pour nous faire la morale ! Sans blague ! Si les conséquences n’étaient pas si tragiques, il y a de quoi mourir de rire. Encore un adepte du croissant qui voudrait imposer la charia. Même si ce CCIF était dissout, cela ne ferait que faire « monter la sauce ». Le vrai, l’unique, le permanent problème de notre vieille terre de France, c’est qu’elle a abjuré la religion de ses ancêtres, dont la Foi constitue le fondement même de son histoire. Une Foi authentique révélée, consignée historiquement, et sans laquelle l’Islam ne cessera d’avancer, jusqu’à ce que la Reconquista recommence, et dans la joie et la bonne humeur s’il vous plaît !
Lu dans Présent :
Les islamistes du CCIF
En pointe dans la défense du burkini, le Collectif contre l’islamophobie en France a saisi la justice pour chacune des interdictions des maires.
Son président Marwan Muhammad, aux sympathies salafistes affichées, a été invité ces derniers jours sur tous les plateaux de télé et de radio pour nous expliquer selon sa rhétorique habituelle, la « discrimination » que subissent les femmes musulmanes, « la gestion coloniale des musulmans dans ce pays » et qu’il faut autoriser les préceptes de la charia au nom des droits de l’homme et de la femme…
Quand on le pousse un peu plus dans ses retranchements comme l’a fait le journaliste de LCI, l’ayatollah en costard lâche que les femmes doivent être libres de porter la burqa et que les musulmans qui refusent de serrer la main des femmes font bien comme ils veulent : « A ma connaissance ce n’est pas le mode de salutation obligatoire. » Lors d’une conférence tenue à la mosquée d’Orly en 2011, Marwan Muhammad avait déclaré : « Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là, de nous nier le droit d’espérer une société globale fidèle à l’islam. »
Né en 2003 le Collectif contre l’islamophobie s’est spécialisé dans la rédaction de « rapports » destinés à condamner la France pour racisme anti-musulman devant les instances internationales, comme l’ONU et la Commission européenne. L’association fait en permanence de l’agit-prop en vue de faire croire à une France raciste et islamophobe et à monter la communauté musulmane contre elle comme lors des émeutes de Trappes. Après la décapitation d’Hervé Cornara à Saint-Quentin-Fallavier en 2015, le CCIF avait expliqué que le vrai danger n’était pas le djihadisme mais l’islamophobie.
En France, le président du CCIF n’hésite pas à se produire en public pour défendre ses thèses en compagnie d’orateurs qu’il apprécie comme l’imam radical d’Aubervilliers Hassen Bounamcha qui justifie (entre autres) le mariage forcé ou encore Rachid Abou Houdeyfa, le célèbre imam de Brest qui professe que « ceux qui aiment la musique [seront] transformés en singes et en porcs » ou encore que « la femme non voilée n’a pas d’honneur et mérite le viol ». « Il est désormais clair que toute cette agitation, soutenue et relayée par des prédicateurs haineux est susceptible de troubler gravement l’ordre public » a réagi le député Gilbert Collard qui demande au ministre de l’Intérieur s’il exerce une surveillance vigilante du CCIF et s’il est disposé à le dissoudre en cas de manquement avéré au code de la sécurité intérieure.
CAROLINE PARMENTIER
caroline.parmentier@present.fr
Présent, jeudi 25 août 2016, n°8678