François-Xavier d’Hautefeuille nous invite à continuer le combat en ne tombant pas dans les pièges du Système, en prenant de la hauteur et en fortifiant les vertus de foi, d’espérance et de charité. Le R.P. Lecareux nous appelle à rester fermes dans notre attachement à Jésus-Christ et à Sa Sainte Mère et à devenir des missionnaires.
Journées Chouannes 2016 13 : Bilan et conclusion spirituelle – Plaquette
Extraits :
François-Xavier d’Hautefeuille :
Il est bon que la réalité de la décadence et de l’invasion que l’on dénonçait déjà il y a cinquante ans, soit reconnue par un nombre croissant de nos compatriotes. Mais il me semble qu’il n’est pas suffisant de s’arrêter à ce constat.
Dans ce contexte difficile pour notre pays et notre famille, Chiré a traversé les tempêtes de la Révolution pendant ces 50 dernières années, ceci en se mettant au service du livre contrerévolutionnaire.
Madame Royer nous disait, il y a plus de 150 ans : « Les Français en arriveront aux confins du désespoir. »
Sommes-nous donc arrivés aux confins du désespoir ? Nous disons : « Non ! Continuons à nous battre et à garder l’espérance. »
R.P. Lecareux :
On ne peut pas brader sa foi.
On a écrit fort justement : « La décadence d’une société commence quand l’homme ne se demande plus : que va-t-il arriver ? Au lieu de demander : que puis-je faire ? »
Oui, on constate, on regarde, mais il faut se demander :
« Est-ce qu’il y a encore quelque chose maintenant à faire, pour établir le règne de Notre-Seigneur Jésus-Christ ? »
J’ai trouvé deux textes de la sainte Écriture qui peuvent être un éclairage pour notre vie spirituelle, notre comportement social et chrétien.
Ne nous laissons pas prendre.
Nous sommes gagnés par le marxisme, gagnés aussi par l’Islam.
Il n’y a qu’un seul Sauveur : Jésus-Christ ! Il n’y a qu’un sang précieux versé sur la Croix, c’est celui de Jésus-Christ ! Il n’y a qu’un réconciliateur entre le Ciel et le Terre, c’est Jésus-Christ !
Nous le disons dans la Messe, lorsqu’il y a le Gloria :
« Quoniam tu solus sanctus, tu solus Dominus, tu solus altissimus Jesu Christe. »