ES 1025, cet « épisode contemporain » n’est ni un document historique, ni un roman. Marie Carré a reçu de nombreuses approbations dont voici les plus caractéristiques :
« Le cas présenté n’est pas tellement imaginaire, hélas ; si mes souvenirs sont exacts c’est sur un Bulletin de l’Aide à l’Église en détresse récent qu’un spécialiste des questions de derrière le rideau de fer, affirme que l’évêque N. est en fait un agent et que c’est lui a qui fait fermer 10 000 églises en Russie. »
« Je vous félicite de montrer le fond du système satanique que si peu connaissent. Et de l’avoir exposé, non comme un professeur à l’abstrait ; mais en marche, si l’on peut dire, et en effervescence dans un possédé du démon. »
« L’histoire est poignante et je crois aussi qu’elle s’appuie sur un fond de réalité ; je suis convaincu qu’il y a dans l’Église, parmi les prêtres, et peut-être les évêques, des gens qui ont été des E.S. »
« Pourquoi ne pas avoir précisé dans un avant-propos qu’il s’agissait d’une synthèse romancée dont les plus douloureuses réalités dépassent la présentation ? »
Ces quatre textes manuscrits parfaitement authentiques émanent de correspondants dont les noms bien sûr, ne seront pas divulgués.
L’auteur :
Marie Carré, élevée dans le calvinisme, s’est de bonne heure demandé si sa religion était vraie et surtout pourquoi tant de « vrais » christianismes s’opposent… se tolèrent parfois… se battent de temps à autre.
Tous ces « pourquoi » ont envoyé Marie Carré vers la Primitive Église, puis vers la Réforme, périple qui se termina par son retour dans l’antique Unité première et universelle. Marie Carré s’est éteinte en France en 1984.
Elle a collaboré à Lecture et Tradition (nos 46, 47, 48, 49, 51, 52, 54, 55, 56, 60, 62, 70).