Bataclan : Sting, hommage de la décadence à l’imbécilité

Si d’un côté certains gardent la pieuse tradition de prier pour les ancêtres, certains autres comme Sting, jouant sur la sensibilité exacerbée de mangeurs de télé, semblent penser que le bruit, autoproclamé « art et musique », est le plus grand devoir envers des victimes loin d’être innocentes. Visiblement les Français n’ont pas compris le danger puisqu’il appelle de nouveau les migrants à débarquer sur notre terre ! À charge pour vous, cher lecteur, de faire dire des messes pour les âmes de ces gens tués au Bataclan : moins victimes de l’Islam que de la trahison des élites !

Lu dans Présent :

Réouverture du Bataclan : Sting achève les blessés

hqdefaultSamedi soir, le Bataclan rouvrait officiellement ses portes, un an tout juste après que les terroristes musul­mans Mohamed-Aggad, Mostefaï et Ainiinour y eurent massacré 90 personnes et fait des dizaines de blessés. Une réouverture que nous aurions pu imaginer empreinte de recueillement, de solidarité envers les familles des victimes et comme une occasion de réaffirmer notre détermination à éradiquer les ennemis de l’Occident. Au lieu de cela, le chanteur anglais Sting y a entonné Inch’Allah…

Certes, nous savons depuis longtemps déjà qu’en période de promotion, les saltimbanques et autres cabotins sont prêts à toutes les bassesses pour refourguer leurs œuvres. Pauvreté, maladie, guerre, rien ne les arrête. Et certains, à l’instar de Sting, en ont même fait un business. Mais enfin tout de même : venir chanter Inch’Allah, autre­ment dit « Si Allah le veut », à l’endroit même où des di­zaines de personnes se sont fait justement massacrer au nom d’Allah il y a un an, il fallait oser !

bataclanUne initiative d’autant plus scandaleuse que, loin de rendre hommage aux victimes de la barbarie islamique, cette chanson est un plaidoyer en faveur des migrants. Dont faisaient précisément partie les bourreaux du Bata­clan. Et parmi lesquels figuraient plus de dix membres de la cellule terroriste responsable des attentats de Paris et de Bruxelles.

FRANCK DELÉTRAZ

franck.deletraz@present.fr

Présent, n° 8734, novembre 2016

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