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Invasion migratoire : quelles solutions ?

Invasion migratoire : quelles solutions ?

« Nous sommes affreusement pourris d’idées fausses, mais le plus grand mal, ce qui nous fera périr le plus vite, c’est une profonde et incurable lâcheté ».

Jules Barbey d’Aurevilly (lettre à Trébutien, décembre 1852)

Que dirait Barbey s’il revenait aujourd’hui ? Effectivement, la lâcheté est une des maladies du siècle, une maladie incurable des peuples en décadence, de ceux qui ne veulent plus vivre, plus se défendre, plus voir la vérité en face.

Pauvre France qui regarde à côté, qui trouve toujours des excuses à ceux qui veulent la détruire ou la corrompre et qui écoute les « mauvais bergers » qui nous gouvernent, trop contente de reporter sa propre lâcheté sur celle des autres. Rares sont ceux qui ont encore le courage de nommer l’ennemi par son nom, sans lui trouver d’excuse absolutoire ou de circonstances atténuantes. Une guerre est une guerre et celle-ci est plus qu’une guerre de religion, une guerre de civilisation où la cinquième colonne est déjà dans la place. Nos ennemis voient nos faiblesses et nos lâchetés et s’en réjouissent ! Le fruit est mûr et même pourri pensent-ils, il tombera de lui-même sans coup férir et sans combat livrer uniquement avec le ventre des femmes allogènes.

Telle est, chers amis lecteurs, la situation présente, inutile de se la cacher ou d’en minimiser les conséquences. Ce n’est même plus une « libanisation » ou un « partage » du territoire tel que cela existe en Afrique du Sud qui nous attend. Non, il s’agit, sous nos yeux, de la mort programmée d’une civilisation, mort encouragée de manière inconséquente par l’Église catholique qui au lieu de monter au rempart, telles une sainte Geneviève ou une sainte Jeanne d’Arc, pour bouter l’ennemi hors de Paris ou de France, l’accueille en « frère », en régénérateur d’une nouvelle race sur une terre à conquérir, l’exact opposé de la Patrie, la terre de nos pères.

Alors, tout serait-il « foutu », les combats inutiles, la réforme intellectuelle et morale lettre morte ? Le Dieu de Clotilde aurait-il abandonné le Royaume des Francs à son triste sort ? Apparemment, les chances de survie sont minimes, mais surmontant le désespoir, il nous reste des solutions politiques, drastiques, dures mais inévitables pour qu’un gouvernement national, ayant l’esprit de sacrifice, de grandeur et de souci du bien commun, prépare le retour du Roi légitime qui ne sera envoyé que par le Roi des Cieux.

Voici quelques solutions qui demandent à être appliquées rapidement et totalement afin que France et chrétienté continuent. Ne nous y trompons pas. La Sainte Vierge nous l’a rappelé à La Salette : si la France disparaît, Rome disparaîtra aussi, au moins pour un temps. On ne se moque pas de Dieu : la justice divine vient à son heure, à l’heure que l’Homme n’attend pas, encore faut-il qu’il la supplie à genoux.

Mais peut-être la lâcheté étant collective, n’est-il possible de résister, de réagir, qu’à une petite échelle, qu’au niveau du « pays », dans le sens géographique de la « petite patrie », au mieux de la province. Suivons en cela, à nouveau l’exemple de Barbey lorsqu’il nous dit dans une lettre à Trébutien de juin 1855 :

« … Quand ils disent que les nationalités décampent, plantons-nous sur la porte du pays dont nous sommes et n’en bougeons pas. Soyons Normands comme Scott et Burns furent Écossais ».

Regardons la guerre des « Géants ». Les Chouans, cantonnés dans ce qu’on a appelé la « Vendée militaire », ont résisté à la République malgré leurs divisions et failli la renverser s’ils avaient, unis, marché sur Paris, sous commandement unique. Chacun doit résister là où il est avec parents et amis et essayer de convaincre ses voisins et connaissances du bien fondé de notre combat, sans prendre de risques inutiles.

Cette guerre de résistance à l’oppression et à la désinformation sur l’invasion migratoire sera plus difficile à combattre et à annihiler par le pouvoir en place que s’il y avait une direction nationale unique, vite repérée, dénoncée et arrêtée comme l’a été le putsch des généraux en Algérie ou certains mouvements de résistance pendant la guerre. J’entends souvent dire : que pouvons-nous faire ? Prier d’abord, agir ensuite avec circonspection, prudence et efficacité.

Voyons maintenant quelles sont ou mieux quelles seraient les mesures à prendre, les remèdes à distiller pour essayer d’enrayer cette vague migratoire qui n’en est qu’à ses débuts ! Lampedusa n’est qu’un faible signal annonciateur d’un tsunami incomparablement plus important. Il y a plusieurs sortes de mesures à prendre : certaines sont préventives et doivent être coordonnées au niveau européen ; d’autres sont nationales soit des mesures d’ordre public à caractère législatif soit des mesures à caractère social. Cet ensemble cohérent de mesures peut représenter un bouclier anti-immigration comme il y a un bouclier anti-missiles, en tout cas la meilleure défense immunitaire pour protéger le territoire national. Encore une fois, seul un gouvernement attaché au bien commun et à l’intérêt national peut agir en ce sens. (LIRE LA SUITE DANS NOTRE NUMÉRO)

Olivier DESTOUCHES

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