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Des origines du mondialisme à la grande réinitialisation – Entretien avec Pierre Hillard

ByLectures Françaises

Mar 6, 2022
Des origines du mondialisme à la grande réinitialisation – Entretien avec Pierre Hillard

Lectures Françaises : Vous venez de publier un nouveau livre consacré à l’étude du mondialisme [1], en tenant compte de ces deux dernières années marquées par une grande avancée du Nouvel ordre mondial. Qu’est-ce qui vous a incité à écrire cet ouvrage ?

Pierre Hillard : Plusieurs éléments sont entrés en jeu. J’ai eu l’occasion de traiter du mondialisme sous différents angles avec mes livres comme Atlas du mondialisme, Archives du mondialisme ou encore dans la préface faite pour le livre de Carroll Quigley, Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine. Cependant, le sujet est si vaste et les racines profondes du mal si anciennes que j’ai voulu, dans une première partie, synthétiser l’ensemble de ces thèmes en y ajoutant, toutefois, des informations inédites. Comme je l’ai souvent dit et/ou écrit, l’essence même du mondialisme est de s’opposer à la Révélation et de détruire l’Incarnation. Par conséquent, l’Église et les États s’inspirant de son enseignement ont subi les assauts de multiples hérésies et courants philosophiques. Sous les coups de boutoir, les élites de ces États ont été peu à peu empoisonnées par ces influences minant l’unité des nations et aboutissant à l’apostasie. On peut s’en rendre compte sur le temps long. Après les premiers signes d’alerte et, malgré tout, étouffés, par exemple avec le catharisme ou encore lors de l’action temporaire du premier chef d’État mondialiste de l’ère chrétienne en la personne de Frédéric II de Hohenstaufen (XIIIe siècle), l’esprit de révolte contre un monde ordonné éclate au XVIe siècle avec la Renaissance et le protestantisme pour s’aggraver avec 1789 et atteindre son stade ultime avec Vatican II. En 2022, nous sommes dans la situation d’une civilisation française et européenne complètement métastasée par l’esprit de la Révolution qui n’est que la volonté d’éradiquer cette fameuse Révélation dans le but de restaurer la gloire et la suprématie tant spirituelle que politique de la synagogue aveugle. Rappelons-nous du titre prophétique d’un livre paru en 1910 de monseigneur Delassus : «La conjuration antichrétienne ou le temple maçonnique [bras armé de la synagogue aveugle rappelons-le] voulant s’élever sur les ruines de l’Église catholique » [2]. Nous sommes exactement dans cette situation où l’ennemi, humainement parlant, a gagné. L’objectif de mon livre est de retracer d’une manière synthétique tout le cours historique propre au mondialisme de la Bible hébraïque jusqu’à la grande réinitialisation ou Great Reset.

L. F. : Pourquoi partir de la Bible hébraïque ?

P. H. : La Bible hébraïque est à l’origine de la Septante (l’Ancien Testament), socle de la religion catholique. Cependant, il faut immédiatement rappeler que l’interprétation de ces textes diffère complètement entre les milieux juif et catholique. Dans cette Bible hébraïque, il est annoncé l’arrivée d’un messie ou l’Emmanuel. Pour le monde catholique, c’est l’annonce du Christ né à « Bethléem Ephrata » signifiant en hébreu « la maison du pain » pour le premier terme et « lieu de fécondité » pour le second. En revanche, les Juifs n’ont pas reconnu la messianité du Christ et le considère dans le Talmud (nouvelle « religion » élaborée de 100 à 500 apr. J.-C. en opposition au christianisme montant en puissance dans l’Empire romain) de la manière la plus blasphématoire. Nous rappelons, en nous référant à la Revue des études juives, que le Christ est châtié au moyen « d’excrément bouillant » [3]. Le journaliste et candidat à la présidence de la République française en 2022, Éric Zemmour de confession juive, se garde bien de le dire en public. Le monde de la Tradition (clergé comme fidèles) est largement ignorant de l’existence de tels référents et tombe à pieds joints dans le camp de l’ennemi. En raison de cette rébellion rabbinique se traduisant par une nouvelle religion, le Talmud, qui n’a rien à voir avec le mosaïsme préparatoire à l’arrivée du Christ, la synagogue aveugle selon l’expression de l’Église est à l’origine de la propagation d’hérésies (arianisme, bogomile, catharisme, protestantisme, franc-maçonnerie, etc.) qui ont secoué la tranquillité des États. La Révolution de 1789 n’est que la conséquence de toutes ces tentatives qui ont peu à peu rongé le socle du catholicisme. Les fameuses « Lumières » du XVIIIesiècle avec leurs philosophes imprégnés de référents judéomaçonniques sont l’exemple type de ces travaux préparatoires rendant possible 1789. Lors du centenaire de la mort de Voltaire en 1878, authentique antisémite, les dirigeants de la revue Archives israélites n’ont pas hésité à résumer d’une manière fine son action : « Si Voltaire nous a été funeste, le voltairianisme nous a été éminemment utile. »

L. F. : Selon vous le refus rabbinique de reconnaître la messianité du Christ est à l’origine de nombreuses hérésies. Pouvez-vous être plus explicite ?

P. H. : La Bible hébraïque annonce l’arrivée d’un messie. Le refus rabbinique de reconnaître le Christ a conduit la synagogue aveugle à attendre l’arrivée d’un « messie » apportant la seule gloire à Israël aux dépens des nations. Le premier messianiste s’appelait Shimon Bar-Kokhba. À la tête de nombreux bataillons juifs et se déclarant « messie », il fut en guerre contre les Romains de 132 à 135 apr. J.-C. Sa défaite a accéléré la dispersion de nombreux Juifs sur tout le pourtour méditerranéen. Depuis cette époque, on a recensé plus d’une vingtaine de « Messies » annonçant le renouveau d’Israël au dépens des nations. Les cas les plus célèbres sont Sabbataï Tsevi (1626-1676) et Jacob Frank (1726-1791). Le premier a entraîné de nombreux Juifs à se convertir faussement à l’islam tout en conservant en secret les espérances messianiques juives tandis que le second se convertissait, lui et des milliers de Juifs, au catholicisme afin de le corrompre de l’intérieur. Leur influence est redoutable, car elle repose sur une réforme de la Kabbale (interprétation ésotérique du judaïsme talmudique) en la personne du rabbin Isaac Louria (1534-1572). Pour comprendre la situation de 2022 avec la fameuse « grande réinitialisation », le lecteur doit impérativement comprendre l’essence de cette réforme lourianique. Dans son esprit, la dispersion du peuple juif est comparable à la dispersion d’une partie des caractéristiques divines du dieu de la Kabbale au moment de la création du monde. Afin de rétablir l’unité du peuple juif et du divin, il faut selon ce maître rabbinique réparer le monde (sous le terme de Tikkoun Olam, terme essentiel à comprendre) en détruisant les souillures ou qelipot, sous-entendu les souillures catholiques, c’est-à-dire l’Église et en priorité le sacerdoce (« souillure » suprême selon les thuriféraires de ce milieu) et les États s’inspirant de son enseignement. Rappelons que le « Great Reset » appelé aussi la « Grande Réinitialisation » est la version actualisée du Tikkoun Olam. Pour atteindre cet « idéal », il a fallu sur le temps long que la synagogue aveugle favorise l’émergence d’hérésies modifiant peu à peu le tour d’esprit des non-juifs ou « goyim » et la structure politique des États de plus en plus décatholisés. Même s’il faut rappeler que des guerres farouches déchirent les différentes factions juives sur les moyens et les méthodes, certaines d’entre elles n’hésitent pas à favoriser le développement du malheur sous toutes ces formes afin d’activer cette réparation du monde selon leurs normes. C’est le principe de la « rédemption par le péché » ou le « saint péché ». Selon elles, faire un mal permet de passer à une étape supérieure en vue de l’obtention d’un « bien ». Plus le mal est toxique, plus celui-ci est encouragé. Et c’est ce mode de pensée messianique, fantastiquement tordu et défendu par certaines factions juives en vue de l’arrivée du « messie » judaïque dans le cadre de la promotion du mal, qui a été résumé par le grand spécialiste israélien Gershom Scholem :

« Dans tous ces textes, dans toutes ces traditions, l’annonce de cataclysmes, sans lesquelles les Apocalypses ne peuvent se concevoir, est décrite en images fulgurantes, qui revêtent toutes sortes de formes : guerres mondiales, révolutions, épidémies, famines, catastrophes économiques, mais aussi apostasies, profanations du nom de Dieu, oubli de la Thora [Loi] et rejet de tout ordre moral allant jusqu’au renversement des lois de la nature (ndla : souligné par nous) [4]. »

L. F. : Vous estimez que le « Great Reset » ou « Grande Réinitialisation » est la version actualisée du Tikkoun Olam. Pouvez-vous développer ce thème ?

P. H. : Le but premier du « Great Reset » ou « Grande Réinitialisation » consiste à établir une société collectiviste avec une élite tyrannique bénéficiant des plus grands avantages matériels coiffant une masse humaine déracinée, appauvrie, surveillée, taillable et corvéable à merci. L’ensemble est encadré par une nouvelle religion, le Dieu Un, qui n’est que l’avatar de l’En-Sof (Être suprême ou Dieu infini de la Kabbale). Le premier prototype de société régi par le mondialisme fut présenté par Thomas More (avant sa conversion complète au catholicisme) en 1516 dans son ouvrage Utopia. Dans une des annexes de mon livre, j’ai présenté le timbre rendant hommage à Thomas More et à son Utopia, timbre édité en 1985 par la Rome apostate. Ce modèle éradiquant la Révélation est justement le modèle (ndla : souligné par nous) promu par le Forum économique mondial de Davos sous l’égide de Klaus Schwab. L’affaire du Covid n’a été que l’outil permettant d’enclencher un processus de bouleversement complet : politique, économique, sanitaire, sociétal et spirituel. La « Grande Réinitialisation » consiste à réparer le monde issu des méfaits de la Révélation. L’expression et le sens de « Tikkoun Olam » se doivent d’être connus du monde de la Tradition aussi bien que le Credo. Le spécialiste israélien du Talmud, de la Kabbale et du messianisme juif, Gershom Scholem, donne la définition suivante :

« Le Tikkoun [“réparation” et “olam” pour “monde”], qui signifie “réparation” ou “réintégration”, est le processus par lequel l’ordre idéal est rétabli (ndla : sous-entendu l’ordre politico-religieux issu du Talmud et de la Kabbale au détriment du catholicisme) » [5].

L’agent mondialiste, avec le soutien des élites oligarchiques, rendant possible le déclenchement de ce processus de réparation du monde parachevant l’apostasie est le patron de Pfizer, Albert Bourla. Remarquons qu’il est né – l’histoire est ironique – à Thessalonique haut-lieu du messianiste Sabbataï Tsevi, promoteur de la « rédemption par le péché ». Rappelons que les études permettant de connaître l’innocuité des vaccins, dont Pfizer, ne sont pas terminées. On peut légitimement craindre l’apparition de maladies en tout genre (myocardite, cancer, etc.) et un nombre incalculable de morts. N’aurions-nous pas là l’application de cette fameuse « rédemption par le péché » similaire à un immense sacrifice humain ?

L. F. : Pouvez-vous décrire les appuis et les relais dont bénéficie Albert Bourla ?

P. H. : Tout d’abord, il faut rappeler l’arrière-fond renforçant la politique vaccinale promue par différents groupes dont PfizerBioNTech (l’associé pharmaceutique allemand). L’objectif premier de l’oligarchie, en particulier le Forum économique mondial de Davos, est de favoriser une mutation complète politique, économique et sociétale à l’échelle planétaire même s’il existe en même temps des rivalités violentes au sein de ce monde (Chine/États-Unis par exemple). Il s’agit d’aboutir à une économie fusionnant le capitalisme et le socialisme ; c’est-à-dire une sorte de « socialisme de marché » idéal propre à la Société fabienne (Fabian Society) qui est une « école de pensée » du monde anglo-saxon. L’humanité doit en plus se soumettre à la nature véritablement divinisée sous le terme de « Gaïa ». Une personne majeure et intimement liée à Davos jusqu’à sa mort en 2015, le Canadien Maurice Strong, a été la figure de proue de cet « idéal ». Il est à l’origine de tous les instituts et/ou conférences promouvant l’écologie et un monde collectiviste. Tous ces travaux ont été codifiés dans un document, la « Charte de la terre », comparable selon les propres termes de ce Canadien aux « Dix commandements » ou à la « Déclaration universelle des droits de l’homme ». Ce texte a été déposé, tel un joyau sans prix, dans un « meuble » qui est la réplique de l’Arche d’alliance du roi David (photos dans notre livre). Dans l’optique de ces personnes, il faut revenir à la situation avant le Christ pour reconstruire le monde selon les normes talmudo-kabbalistiques. C’est cela l’esprit de la Révolution. Et dans cette affaire, Albert Bourla n’est que l’outil permettant, via la politique vaccinale, de passer à l’étape supérieure rendant possible l’instauration de mesures liberticides instaurant l’identité numérique, l’intelligence artificielle et le traçage de monsieur et madame tout le monde. Un seul exemple, la mise en place d’un « espace santé numérique » en France (février 2022) est la conséquence de cette politique vaccinale en amont. Sauf opposition personnelle de votre part (encore autorisée par le système… pour combien de temps ?), vous êtes désormais fiché et tracé numériquement.

L. F. : À l’approche des élections présidentielles en avril 2022, pensez-vous qu’un candidat est en mesure de s’opposer à cette évolution ?

P. H. : Nous sommes en république issue des principes messianistes et kabbalistes de la Révolution de 1789. Je rappelle au lecteur que le préambule de la « Déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen » précise que l’idéal républicain s’affirme « sous les auspices de l’Être suprême » qui n’est que l’En-Sof, c’est-à-dire le Dieu de la Kabbale. Par conséquent, nous n’avons rien à espérer des candidats de la « gueuse » soumis à un système viscéralement anti-catholique. Je veux, toutefois, mettre en garde le lecteur, en particulier le monde de la Tradition, s’agissant du candidat à la présidence Éric Zemmour. Certes, il dit des choses tout à fait justes en évoquant l’invasion migratoire ou encore le fait que l’islam n’établit pas de distinction entre le spirituel et le temporel. Je rappelle cependant qu’il est de confession juive. Or la religion d’Éric Zemmour, le Talmud, est violemment anti-catholique. Dans cette religion talmudique, comme je l’ai rappelé plus haut, le Christ est châtié dans une marmite remplie d’excréments bouillants sans oublier les propos blasphématoires tenus à l’égard de la Sainte Vierge. Passons à l’élément financier, le nerf de la guerre. Qui paye commande. Le financier qui gère la campagne d’Éric Zemmour, Jonathan Nadler, est le représentant à Paris de la banque JP Morgan ; c’est-à-dire l’oligarchie mondialiste à l’état pur. Comme l’a affirmé le groupe financier Bloomberg (décembre 2021), Jonathan Nadler s’est offert « six mois de congé sabbatique » pour travailler à plein temps au financement de la campagne présidentielle d’Éric Zemmour [6]. Croyez-vous, cher lecteur, que le système oligarchique enverrait un de ses représentants gérer la campagne d’Éric Zemmour si ce dernier représentait vraiment une menace pour la finance apatride et les multinationales ? Bien sûr que non. Concernant ce sujet, mon livre apporte des informations très dérangeantes. J’ai publié la liste des 100 partenaires stratégiques finançant et soutenant le Forum économique mondial de Davos patronné par Klaus Schwab. Sans tous les citer, nous trouvons nos ennemis habituels comme, par exemple, la Fondation Bill et Melinda Gates, Goldman Sachs ou encore la Compagnie McKinsey (conseillère du président Emmanuel Macron en matière vaccinale). Concernant cette dernière, Victor Fabius (fils de Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel) est membre de sa représentation parisienne. On peut tout de suite remarquer l’existence d’un conflit d’intérêts. Mais ce n’est pas tout ! Le Forum de Davos compte parmi ses soutiens financiers : la banque JP Morgan ! Nous avons donc un Éric Zemmour dont le financement de sa campagne (Jonathan Nadler) se fait sous le couvert d’une banque véritable pilier du Forum économique mondial de Davos. Son patron, Klaus Schwab, doit bien rire parfois. Le monde « tradi » (clergé comme fidèles), sauf heureuses exceptions, se fait rouler dans la farine depuis plus de 200 ans. Problèmes de formation théologique (sur le Talmud et la Kabbale en particulier) et historique sont la marque de fabrique propre à ce milieu éternellement naïf.

Ajoutons ce dernier point. Lors de son annonce à la candidature présidentielle (novembre 2021), Éric Zemmour s’est présenté avec en arrière-fond une bibliothèque. Un élément tranchait dans la composition de l’ensemble : le portrait de la Sainte Vierge. Outre la présence anormale de ce portrait lors de cette annonce reposant, dans le cadre de la République, sur les principes anti-catholiques de 1789 sans oublier la tournure d’esprit de son candidat marquée par le Talmud, cette image mariale ressemble étrangement à la Vierge noire de Czestochowa en Pologne. C’est dans cette ville que le messianiste Jacob Frank, faussement converti au catholicisme au XVIIIe siècle avec l’ensemble de ses disciples, fut interné pendant 13 ans. C’est cet homme, les membres de cette communauté et leurs descendants qui ont joué un rôle certain pour infiltrer l’Église. Vatican II est issu largement de ce mouvement frankiste. Je l’ai expliqué dans Atlas du mondialisme et Archives du mondialisme. Précisons que Jacob Frank en a profité aussi pour mettre en valeur sa fille Ève considérée comme la nouvelle « Vierge », perversion et subversion typiquement frankiste. Par conséquent, la présentation de ce portrait marial dans l’annonce présidentielle d’Éric Zemmour ‒ qui normalement n’a pas lieu d’être ‒ est une sorte de clin d’œil plein de malice au sens satanique du terme et de connivence à l’adresse d’une oligarchie sachant décrypter ce type de message et, de ce fait, largement rassurée.

Propos recueillis par la rédaction

[1] – Éditions Culture et Racines, mars 2022, 364 pages dont un cahier d’annexes en couleur de 36 pages, 28 €.

[2] – Réédition Éd. Saint-Rémi, 2021, 760 pages avec couverture cartonnée, 29 €.

[3] – https://www.academia.edu/34826695/_B_Gittin_56a_57b_L_%C3%A9pisode_talmudique_de_Titus_Balaam_et_Yeshu_en_Enfer_J%C3%A9sus_et_l_insolite_ch%C3%A2timent_de_l_excr%C3%A9ment_bouillant_Revue_des_%C3%A9tudes_juives_173_1_2_2014_p_15_40

[4]Le Messianisme juif, op. cit, p. 37 in Pierre Hillard, Des origines du mondialisme à la grande réinitialisation, op. cit, p. 95.

[5] – Gershom Scholem, Sabbataï Tsevi, Éditions Verdier, p. 95 in Pierre Hillard, Des origines du mondialisme à la grande réinitialisation, op. cit, p. 84.

[6]https://www.bloomberg.com/news/articles/2021-12-02/jpmorgan-banker-takes-leave-to-help-french-far-right-candidate Précisons que le bras droit financier de Jonathan Nadler s’appelle Julien Madar, un ancien de la Banque Rothschild. Cette dernière a soutenu auparavant Emmanuel Macron en 2017 et à la fin des années 1960 un de ses représentants, Georges Pompidou. Ce dernier était aussi à cette époque le trésorier de la Paneurope France.

La lecture de cet article extrait du numéro 779 (mars 2022) de Lectures Françaises vous est offerte en intégralité. Pour découvrir le  sommaire du numéro et le commander, c’est ICI !

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