Une excellente présentation sur la réalité objective de ce qu’est DAECH. Si l’on replace cette émanation judéo-arabe dans la réalité catholique mondiale, sur le plan historique, il est dur de ne pas faire le rapprochement entre l’invasion, les invasions plutôt que nous vivons actuellement, et les hordes de Huns et autres qui ont déferlé sur la France chaque fois qu’elle se montrait oublieuse de son plan divin, contenu et authentifié dans le Testament de Saint Rémi. On peut raisonner humainement et prendre des mesures, mais n’oublions pas la condition « sine qua non » d’un retour à la normale mondiale : la conversion de la France et qu’elle replace sur son cou le joug de l’Église Catholique dont elle fut toujours la fidèle fille aînée, par ordre et par devoir.
Lu dans Alerte anti-terroriste :
Beaucoup croient Daech sur le déclin parce qu’il perd les villes prises en 2014 et 2015 les unes après les autres. D’autres constatant l’organisation radicale recourant de plus en plus au terrorisme, au fur et à mesure qu’elle perd du terrain, en viendraient presque à accepter l’idée de lui laisser un territoire où, devenant un État véritable, il finirait par s’assagir. Ces deux visions, nous semble-t-il, sont erronées.
La seconde parce qu’elle reviendrait à accepter de coexister, pour le reste du monde, avec un État aux fondements idéologiques pervers et inhumains. En outre, fort de ce qu’il prendrait pour une victoire, Daech n’aurait de cesse d’étendre par tous les moyens son territoire, représentant ainsi un danger permanent pour les pays de sa périphérie.
Quant à la première analyse, elle revient à dire que la confrontation militaire suffirait à détruire Daech. C’est faire fi de sa genèse, quand il était reclus dans le désert d’Irak. Vivant de réseaux implantés dans une partie de la population sunnite, il était déjà un dangereux prédateur perpétrant ses attentats principalement dirigés contre la société chiite.
Retournant à cette clandestinité protectrice faute de tenir un territoire, Daech continuerait de constituer une menace. Ce d’autant plus qu’il voudrait se venger de la défaite infligée. Du reste, perdant du terrain, affaibli donc sur le plan conventionnel, nous le voyons déjà recourir de plus en plus au terrorisme à Paris, Nice, Bagdad ou Istanbul. Ce qui nous amène à conclure que pseudo État sédentarisé ou réseau protéiforme se cachant dans la population, Daech ne peut qu’être combattu jusqu’à l’extermination.
Alerte anti-terrosiste, juin-juillet 2016, n°136-137