Certes la Police a la fâcheuse habitude de courir après des PV. Même si certains sont les premiers à regretter (en privé) l’obligation qu’ils ont d’engraisser Paris-Matignon et consorts. Ceci dit, à force d’obéir ainsi, ils iront jusqu’à s’en prendre à de pauvres français de souche qui ne font que défendre leurs femmes, leurs enfants et leurs biens. Cela a déjà commencé. Il est grand temps pour eux de remettre en question la définition d’autorité qu’on leur a inculquée. C’est-à-dire supprimer la référence marxiste, pour la remplacer par la thomiste. En attendant, la peur a déjà remplacé le sang-froid chez ce policier…
Lu dans Présent :
Mantes-la-Jolie : encore un guet-apens anti-flics !
Conséquence directe de la déliquescence étatique et judiciaire, les embuscades tendues par les bandes ethniques à la police ne cessent de se multiplier. Ainsi, après l’attaque au cocktail Molotov qui a blessé quatre policiers, dont deux grièvement, près de la cité de La Grande Borne, à Grigny, la semaine dernière, c’est dans le quartier du Val-Fourré, à Mantes-la-Jolie, que les forces de l’ordre se sont vues tendre un piège dans la nuit de samedi à dimanche.
Un modus operandi devenu banal
Appelés vers 22 h 30 pour une fausse alerte à la voiture brûlée dans cette cité abandonnée à l’immigration et à la délinquance, les agents de la BAC ont immédiatement été bombardés de cocktails Molotov par une centaine de voyous ethniques, agissant avec la même détermination criminelle que ceux de La Grande Borne. Le modus operandi était d’ailleurs presque identique : fausse alerte, bouteilles incendiaires prêtes à servir, éclairage public préalablement saboté…
Pour sortir vivants de ce énième guet-apens, les policiers ont dû recevoir le renfort d’une cinquantaine de collègues qui, à coups de flash-balls et de grenades lacrymogènes, ont finalement réussi à repousser les assaillants vers 1 heure du matin. Rappelons que, la veille, policiers et pompiers étaient déjà tombés dans une embuscade, square du Mantois, à la suite d’une fausse alerte au feu de poubelles.
Dans un pays sain, une telle pratique entraînerait immédiatement une riposte violente. Or, démontrant une fois de plus son incompétence, Cazeneuve s’est empressé de saluer, dimanche, le « sang-froid » des policiers, « qui ont su repousser les assaillants » sans faire de blessé ! Car là est aujourd’hui l’essentiel : surtout ne pas se servir de son arme. Quitte à s4 faire lynché ou à être brûlé vif dans son véhicule.
Exit la police de Broussard ou du « Chinois », qui n’hésitait pas à « défourailler » : le policier modèle est devenu le « policier cible ».
Emblématique de cette évolution est Kevin Philippy, cet adjoint de sécurité qui, après avoir failli brûler avec sa collègue, reçu des coups de barre de fer sans broncher et pris la fuite devant des manifestants d’ultra-gauche, s’est vu décerner la médaille d’or de la sécurité intérieure et a été promu gardien de la paix. Avec ces mots du ministre : « Il incarne le visage de la police, de tous les policiers et gendarmes de France ! »
Et le récipiendaire, qui a bien perçu cette évolution, a confié de son côté : « Si j’avais sorti mon arme ou donné des coups, je serais passé du statut de héros à zéro. Ma carrière aurait pu se terminer là. »
FRANCK DELÉTRAZ
Présent, n°8716, 18 octobre 2016