Enfin, dernier article sur le sujet de l’alimentation : plein de bon sens par le lien entre l’éducation, l’argent, le comportement de l’adulte et la spéculation sur les produits naturels. En somme, on se doit de rappeler que le souci de la qualité de son produit relève éminemment, chez le producteur, de la vertu et de la nécessité morales.
Lu pur vous ce matin dans « A.G.N.V.S » :
BIOLOGIQUE… NATUREL… MYTHE OU RÉALITÉ ?
Les principaux mensonges téléguidés et leur réfutation.
Nous vivons dans une société de consommation qui s’est transformée en société de spéculation… Dans une telle société, les citoyens sont programmés dès leur plus jeune âge, pour que leur activité tende à réaliser des profits. Il faut qu’ils gagnent le plus possible d’argent… et le dépensent au plus vite.On peut dire qu’un adulte est un centième de milligramme d’embryon, plus 60 ou 80 kilos d’aliments… Il est donc capital que l’alimentation fournisse exactement tout ce qui est nécessaire à la construction de l’organisme, sans rien apporter qui soit susceptible de lui nuire.
Carences et pollutions se conjuguent pour faire le lit des grandes maladies de dégénérescence : cancer, maladies cardio-vasculaires, arthritisme, troubles mentaux, diabète, sclérose en plaques, sénilité précoce, etc.
LA MULTIPLICATION DES « FLÉAUX DE LA CIVILISATION » CAUSE LE DÉFICIT PERMANENT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE, ET CONSTITUE UNE HÉMORRAGIE ÉCONOMIQUE INEXORABLE QUI, SI ELLE PROFITE À CERTAINS, COMPROMET LE BIEN-ÊTRE ET L’AVENIR DE TOUS… TOUTE SPÉCULATION SUR LA NOURRITURE DES HUMAINS EST DONC UNE SPÉCULATION CONTRE L’AVENIR DE L’ESPÈCE, UNE ENTREPRISE DE DESTRUCTION DE L’HUMANITÉ, UN CRIME CONTRE L’HOMME.
Il est un fait que, au rythme où l’agriculture chimique brûle l’humus des terres arables et ruine leur fertilité millénaire – même dans une nation au sol immensément riche comme la France – toute production alimentaire deviendra très rapidement impossible et tous les « exploitants » feront faillite les uns après les autres.
La présente brochure a pour but d’informer le grand public et de fournir aux lecteurs des arguments sérieux, scientifiques, avec références à l’appui, leur permettant de répondre valablement aux principales objections opposées tant à l’alimentation naturelle qu’à l’agriculture biologique.
H.-Ch. GEFFROY.
A.G.N.V.S