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En 1953 parut (aux Editions Plon) un livre posthume de Robert Brasillach sous le titre Six heures à perdre, qui ne connut pas un grand succès et dont le contenu apparaissait d’un intérêt moindre que celui des précédents ouvrages de l’auteur. Après 9 mois de captivité en Westphalie, Brasillach rentra à Paris en 1941. Dans son récit (que l’on peut qualifier de « roman de l’Oc-cupation », il relate son retour et le bonheur de retrouver la ville qu’il aimait tant et dont il décrit l’ambiance de cette époque. Une réédition vient de paraître, précédée d’une préface de Philippe d’Hugues (Editions Pardès, 2016, 250 pages, 23 €)
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