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Au mois d’octobre 1923, Philippe Daudet, âgé de 15 ans, fils de Léon Daudet, fut retrouvé mort dans un taxi, à Paris. Son père était persuadé qu’il s’agissait d’un crime politique et en fit état publiquement dans ses articles parus dans le journal L’Action française. Poursuivi pour diffamation, il fut condamné à six mois d’incarcération et parvint à s’évader de la prison de la Santé dans des conditions rocambolesques. Il trouva refuge en Belgique où il resta en exil pendant près de deux ans et demi. Mais l’affaire se prolongea durant plus de dix ans, tant L. Daudet tenait à défendre la mémoire de son fils.
Parallèlement, elle entraîna la fureur du monde politique et des révélations sur les agissements de la police et le cynisme de certains responsables de l’Etat. Bien entendu, elle fut soigneusement occultée par les arcanes de l’histoire et tomba dans l’oubli où les bien pensants l’ont enterrée. Jean-Pierre Fabre-Bernadac a voulu faire la lumière sur les raisons et les conditions de cet assassinat en menant une enquête rigoureuse étayée sur plusieurs documents et pièces d’archives, jusqu’a lors restés très peu connus. Il en a tiré un livre, On a tué le fils Daudet. Crime politique ou suicide des années 20, qui ressemble fort à un irréfutable dossier de police (Editions Godefroy de Bouillon, 2016, 268 pages, 26 €).
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