La négations de l’existence des cultures française, allemandes, européennes en général, ainsi que les efforts pour faire disparaitre les identités nationales, raciales et sexuelles, cachent une volonté d’asservissement des peuples à la caste mondialiste.
Lu pour vous dans le Courrier du Continent
Parmi les européens lucides et courageux, il y eut quelque surprise lorsqu’ils entendirent Emmanuel Macron parler d’absence de culture française. Les mêmes divagations ont été répétées en Allemagne, sur la non-existence d’une culture allemande. Toute cette médiocrité concentrée, répétée, acceptée signifie quelque chose de très profond qu’il convient de préciser ici une fois pour toutes. Ces responsables politiques ont raison.
Ils nous ont dit leur vérité et nous devons les en remercier. Tout est plus clair désormais pour chacun d’entre nous.
Il suffit de revenir à Aristote, voire d’ouvrir un livre du professeur Julien Freund, pour prendre conscience que l’essence de la relation économique est la dialectique du maître et de l’esclave. Dans une Europe devenue un centre de la criminalité en col blanc, la relation économique domine tout. Les politiciens sont passés sous les fourches caudines de la corruption, ont tous été évalués sur le marché aux esclaves des écoles de commerce, de sciences-po et autre ENA. Ils ne sont plus rien.
L’esclave ne s’appartient pas. Il se met sous la dépendance d’autrui qui en fait sa chose. Il obéit à tout ordre. L’esclave n’a ni Patrie, ni famille, ni langue maternelle, ni culture spécifique.
Il est un récipient que le maître remplit de sa propre vulgarité, affirmant que cela est la culture. Il est muet sauf lorsque le maître lui intime l’ordre de parler. Alors il s’exprime dans la langue de son propriétaire, dont chacun voit désormais qu’elle ne dépasse pas le niveau d’un patois de Canaan.
Auran Derien