« Le temps des hommes doués, honnêtes, populaires mais jamais vulgaires, semble révolu. Comme je regrette d’avoir dévoyé ma plume pour soutenir une droite française, sans honneur, sans courage, sans panache, sans rêve. Sans rien […] Me voilà un peu plus orphelin dans ce bas-empire sans légions, ni religion sinon l’idolâtrie de soi […] La France n’est belle que dans ses paysages, ses monuments, ses arts et ses lettres. Peut-être aussi dans ses profondeurs populaires, mais les politiques s’acoquineront toujours pour navrer la candeur des humbles »