La Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques (iFRAP, 32-34 rue des Jeûneurs, 75002 Paris, tel. 01 42 33 29 15, courriel : contact@ifrap.org) poursuit ses enquêtes et son important travail d’investigations pour dénoncer les dépenses dispendieuses et même les gabegies des services publics français qui coûtent une fortune colossale, dont la charge est généralement supportée par les contribuables puisque ces sommes considérables sont prélevées sur les impôts et les taxes que nous payons tous !
Dans le n° 173 (novembre 2016) de la revue Société Civile, que publie la Fondation, figure une étude, « Mandats politiques : passer de 645 000 à 114 000 élus », au terme de laquelle il est démontré que le nombre d’élus, actuellement assez généreusement rétribués, pourrait aisément être diminué de 530 000 personnes, sans que, pour autant, le fonctionnement régulier du pays en soit affecté. Cette diminution proposée porte sur l’ensemble de la hiérarchie des élus : députés nationaux, sénateurs, conseillers régionaux, départementaux, intercommunaux, municipaux et maires. Ainsi, pour ne retenir que l’exemple le plus frappant, les députés pourraient aisément être réduits de 577 à 350 et les sénateurs, de 348 à 150. L’ensemble de l’étude (15 pages) est étayé sur des chiffres, des tableaux, des statistiques. Pour prendre connaissance du dossier complet, demandez ce numéro de Société Civile, dont le prix est de 8 €. Vous pouvez aussi vous abonner pour un an (65 €).
Dans le même ordre d’idée, vient de paraître le premier numéro (décembre 2016-février 2017) d’une nouvelle publication portant ce titre et sous-titrée Trop de dépenses publiques, c’est trop d’impôts, que son délégué général, Eudes Baufreton, présente en ces termes : « En cette période électorale où les promesses démagogiques fleurissent avec l’argent de nos impôts, il est plus que jamais nécessaire de faire entendre la voix des contribuables, votre voix. Le gouvernement actuel, non content d’avoir matraqué fiscalement les Français ces dernières années, continue sa course folle et irresponsable en matière de dépenses non financées à ce jour (…) Nos “élites” mènent la France au précipice. C’est toujours plus de technocratie, d’assistanat, au détriment de votre pouvoir d’achat et de vos libertés ».
Dans ce numéro, nous avons spécialement apprécié l’article « 10 bonnes raisons de dire non au prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu ». Sur la une de couverture, est mentionnée la courte information suivante : « Dette de la France à l’heure où nous publions : 2 273 053 658 125 euros » (soit 2 273 milliards et près de 54 millions !). Demander ce numéro (prix 2 €) à Contribuables Associés, 42 rue des Jeûneurs, 75002 Paris.