Abomination ! Qu’a-t-on laissé subir à la France? Depuis combien de temps l’odieux manège? Au nom de quelles misérables intentions? Pourquoi de telles complicités avec les faiblesses qui nous livrent aux prédateurs?
Lu pour vous dans Militant.
Un peuple en état de débris moral. Un peuple de plus en plus dépassé par les soucis d’argent pour acheter de quoi croûter jour après jour. Un peuple rejeté hors de toute réelle spiritualité par les dictateurs du système régnant. Un peuple acculé à l’isoloir pour chercher en vain le miracle d’un rétablissement.
2017, impuissance de retenir l’argent qui vous glisse entre les doigts. Salaires étriqués. Embauche difficile à tenir. Retraite étriquée. Comment faire face dans ce système qui dorlote si bien les renégats ? Tant de soucis pour réunir un pécule suffisant pour honorer un train de vie ordinaire … Et l’hiver se chauffer sans gaspiller. Végéter dans les restes d’une nation et savoir qu’elle est déjà bradée. Privilèges aux immigrés que le pouvoir tient sous son coude pour écraser l’impertinence de ces Français qui osent encore être Français.
A quoi faut-il renoncer pour que survive le mirifique « pouvoir d’achat » ?
N’être plus qu’une carcasse qui erre dans le besoin dissimulé, les restes d’un être déprécié, les restes d’un être qu’il est ringard de défendre, vestige d’une légitime défense sociale mille fois évoquée, mille fois bafouée. L’avenir, l’avenir qui prend soin d’avertir qu’il ne nous doit plus rien, accolé à un passé dont on ne laisse subsister que ce que l’on accommode. Etre n’importe qui flottant dans le temps, exclu de plus en plus d’une terre offerte à l’assaillant. Etre devenu dans son pays un gêneur exempt de secours et menacé de sanctions psychiatriques … si on se contente de le faire passer pour un cinglé … !
Se retrouver intrus, interdit pour avoir eu raison. Voir caresser une forme de liberté où ne sont admis que les imbéciles et le silence. Etoffer une société où l’on minaude au lieu de répliquer. Proie des jaloux armés de lois scélérates. Poids d’un peuple qui ne veut pas comprendre que c’est lui qu’on veut supprimer !
Nous raccrocher à quoi, quand en définitive c’est leur société qui nous consomme, leur volonté qui nous supprime ?
Tenir ! Exister n’importe comment ! Encore un peu ! Tant qu’on peut ! Qui, dans ces débris, reconnaîtra la résurrection ? La nôtre ! Quand donc nous reviendra cette forte innocence qui affirme dans l’enfer de l’épreuve que notre sève n’est pas tarie ?
2017, ce qui se construit chez nous, maculé d’indécence, c’est de l’excrément de fripouille. Sans foi, tout s’en va, et bien fat qui prétendra être plus apte que nous à renaître en ces lieux! Dans la ferveur d’appartenir, redécouvrons, tristement étouffée, l’innocence de renaître.
Sur le chemin de l’asservissement, on vient encore de voter. L’urne, c’est le chaudron des sorcelleries démocratiques. Quand ça vasouille, quand ça presse, quand il faut taire l’indécence, accourez urner pour que le régime reprenne bonne contenance. Votons ! Faisons croire aux enfumés que de là va sortir le souffle qui ravigote.
Entre ce qu’on nous fait, et ce qu’on nous raconte, faut arriver à comprendre où on nous trimballe. La puissance mondialiste joue sur tous les tableaux et son rêve est de se faire passer, notre bêtise oblige, pour de la « crème de libérateur ». Tant pis si ce sont les mondialistes qui ont monté le désastre, fourni argent et appuis aux «libérateurs oppresseurs» quand ils nous auront flanqué dans la situation la plus désespérante, la racaille mondialiste va se ramener le bec enfariné pour nous offrir une nouvelle «libération». «Laissez-nous donc arranger les choses !»
Pour sûr qu’ils vont nous arranger !
Une bonne guerre civile (ou ethnique), bien menée, dont ils tireront les ficelles, voilà leur rêve. Avec, au besoin, un coup de main de la masse de super musulmans qu’ils tiennent au chaud chez nous. Belles razzias en perspective, la pâtée flanquée à ces ramollis de roumis et pourquoi pas, la grande revanche de l’an 732 …
Attention ! Il est interdit de douter de la sainteté des immigrés ! ! !
Les mondialistes, ils rêvent. Ils rêvent atrocement. Incroyable, la quantité de méchanceté qu’ils ont à déverser !
Toujours aussi marioles, ils continuent, en grande pompe, à faire la guerre à Hitler, en même temps que, brimés par leurs lois scélérates et l’emprise qu’ils détiennent sur notre société, ils nous contraignent, nous forcent, nous astreignent, nous condamnent au point que maintenant, les dictateurs, c’est eux !
Nationalistes, attention, vous n’avez pas le droit de vous apercevoir de ce qu’on vous fait ! Faut s’intégrer avec respect dans débandade préfabriquée.
Nous offrir aux terrifiantes insatisfactions de l’argent, jamais comblées. Les mondialistes voudraient nous faire croire à l’absolu de cette finalité, mais nous ne sommes pas clients des tractations de l’enfer !
Ils se sont attribué le droit de détruire une civilisation : la Nôtre ! Ils s’affectent à gaspiller nos vies dans l’entrelacs des inexactitudes et ils n’auront jamais été autre chose que les meurtriers de la sincérité.
De surcroît, cette couvée de « rapetout » nous accuse, nous, chrétiens, de nous refuser à la charité et de nous défier des groupes de combat islamiques qu’ils entretiennent chez nous. Or les accueillir, c’est périr ! Périr dans une guerre que déjà on nous fait perdre avant qu’elle ne soit officiellement commencée. Nous porter des mauvais coups prématurés et occuper le terrain, pour eux, c’est déjà la victoire !
A ces hypocrites de la charité, faisons savoir que nous sommes chrétiens, mais pas des idiots ou des candidats au suicide…
Que de fois n’avons-nous pas songé combien le monde serait avenant, délivré de cette puissance délétère perpétuellement enferrée dans les doubles jeux et toujours prête à attenter à notre disparition … Cependant qu’elle abuse les peuples, bien sûr pas toujours dégourdis.
Au supermarché de l’arnaque, accueillir ces « belles gueules », appelées par suffrage universel pour surveiller nos vies, arasées par leurs perpétuels complots, c’est déjà faillir.
Du cran ! Vous qui entrez en conscience nationaliste, il faut commencer par exister !
Dans notre inquiétude d’homme libre, désormais ni leur paix, ni le respect de leurs dires sont soutenables. Tout concourt à activer leur chaos.
Les asservis, tous en chœur, vont crier « fascistes » ! Rien de neuf. De nouvelles idées c’est trop fatiguant et il leur faut exposer leurs inébranlables insatisfactions ! Des activités ! Des activités ! Pas celles qui sauvent !
Pour tenter de nous réduire à l’idolâtrie du suffrage universel, les attardés du système, bardés de démocratie, ne vont pas tarder à nous ressortir quelque vieille et pimpante trouvaille. Liberté, Egalité, Fraternité, par exemple !
Liberté ! Egalité ! Fraternité ! C’est pas bien, ça ! ça rabâche si bien ! ça se croit si volontiers !
Encore faut-il, pour s’enthousiasmer, que le pollen des mots féconde la générosité du cœur, que la fraternité prenne vie dans les méandres de l’être.
Quant à la liberté, il ne reste d’elle que des miettes, et encore quand elles ne gênent pas les grands esprits libertaires.
L’égalité, il faut surtout y croire pour ne pas découvrir qu’elle est une vue de l’esprit et qu’il ne faut pas s’attarder à la regarder au fond des yeux.
Liberté, Egalité, Fraternité. Armés de ces paroles, les acteurs de la Révolution à laquelle on nous ramène obstinément n’ont pas hésité, à l’automne 1793, à mettre la Terreur à l’ordre du jour et Robespierre à affirmer que le ressort de la démocratie, c’est à la fois la Vertu et … la Terreur !
La vertu, bien peu ont dû s’y acharner et l’on sait mal ce qu’il est advenu d’elle entre leurs mains Probablement, ce qu’elle est encore aujourd’hui. Quant à la Terreur, elle est la période la plus atterrante de notre histoire. Hommes et femmes soupçonnés de tiédeur pour les idées en cours furent poussés à la guillotine, noyés ou étripés en masse, sans que jamais, cette fraternité si prisée apporte la mansuétude qui aurait pu retenir l’effarante boucherie.
Liberté, Egalité, Fraternité, jamais comme pendant la Terreur, autant de gens ne furent à merci de l’arbitraire et de l’obsession de mettre à mort.
Liberté, Egalité, Fraternité, méfiez-vous de ces mots dont on se sert toujours et que l’on peut toujours charger de fins aussi sinistres.
Ceux qui avaient mis les Français à merci de l’iniquité d’un régime, croyez-vous que maintenant, avec ces mêmes mots, ils n’arrivent pas à quelque chose d’ approchant ?
Les mots ne sont, les mots ne valent que ce dont les hommes les chargent et cela, il faut toujours s’en méfier.
Quand l’homme dit, surveillez ce qu’il fait… faute de savoir ce qu’il pense !
En France, chez nous, revenons-y, un mondialiste vient encore d’être élu à la tête de l’effarante République. L’abomination continue, soutenue par ce pédant catalogue de renégats. Cette mortelle obstination, les Français en prennent-ils conscience ? Ils ont voté pour une « Belle gueule ». Ils se croyaient au cinéma ! Beau, autant que malfaisant, ont-ils réalisé que cela existait ?
Hitler est mort, mais ceux qui, sous prétexte de le combattre, exploitent son souvenir, ont fait de lui l’épouvantail parfait. Sous prétexte de nous protéger de lui, les mondialistes nous enserrent de lois scélérates et d’interdictions outrancières. C’est la dictature ? Maintenant, cet Hitler, c’est eux !
Hitler, on s’en sert ! Et les Français ne perçoivent pas, derrière les détritus démocratiques, leur pays devenu camp de la mort et de misère pour ceux qui sont nés Français et qui le restent.
Sous prétexte de nous protéger de Hitler, nous nous sommes laissé submerger par une autre dictature et le peuple, semble-t-il, dans une cécité chronique, croit encore en la démocratie qu’on lui fait avaler.
Imbéciles ! Notre nation ! C’était ça la Liberté ! Notre Liberté !
Enfants de notre nation, nous sommes de ceux qui peuvent encore s’émerveiller d’un lever de soleil sur nos terroirs. Le mondialisme est un péril assujettissant, une dépravation de l’être où il interdit à l’Homme d’être le Fils et l’Honneur de sa terre.
On veut vous faire croire en la pérennité de biens acquis des plus tristes façons alors que notre existence n’est qu’une seconde dans la Vie d’un Peuple, et cette seconde, ils ne nous la feront pas gaspiller !
Heureux nationalistes ! Les yeux ouverts et le cœur à la Vaillance !
DIOGENE
Militant n°695 de juillet-août 2017