Emmanuel Macron : on entend bien des choses au sujet de cet homme. Tous les adjectifs vont bon train à son sujet dans les médias alignés en mode « OFF ». Tour à tour rassembleur puis diviseur, original ou conformiste, conservateur mais libéral (allez comprendre), électron libre ou sang neuf, hors-course ou avant-gardiste… Bref. Quoiqu’il en soit, il semble important de souligner qu’il est, comme tout candidat ou tout « rassembleur », dépendant d’un ensemble d’entités de communication, de financement et d’alliances nécessaires à la vie dite politique actuelle, ensemble dirigeant du jeu des partis ; ce qui en soi, divise la France. Il ne reste qu’à conclure que nous avons simplement à faire à un petit pantin d’un nouveau modèle, par-ailleurs serviteur Rothschildien… Bon, il a le mérité d’avoir une bonne tête. Tout juste bon à classer dans « Femmes Actuelle »… ou dans les archives « dernier espoir » du monde jacobin.
Lu pour vous ce matin dans Faits et documents :
Mise sur orbite d’Emmanuel Macron, réseaux et perspectives.
La grande Marche, une opération destinée à vendre l’image d’Emmanuel Macron (qui n’a jamais été élu) aux Français, a été confiée à Liegey Muller Pons, première start-up de stratégie électorale en Europe, cofondée en 2013 par Guillaume Liegey, que le ministre a connu au sein de la commission Attali et qui entend s’inspirer du marketing électoral de Barack Obama.
Par ailleurs, rien ne permet d’affirmer qu’ Emmanuel Macron prendrait le risque de se porter candidat à une quelconque primaire à gauche, dont la base militante reste méfiante à l’égard des milieux financiers. Rappelons qu’il n’a jamais pris sa carte au Parti socialiste et qu’en 2010, François Fillon alors Premier ministre lui avait proposé de devenir le directeur adjoint de son cabinet.
Faits et documents , du 1er au 31 mai 2016, n°415.