L’histoire étant ce qu’elle est, il est n’est pas inutile de rappeler que l’Islam a toujours été une fausse religion doublée d’une machine de guerre antichrétienne qui pendant des siècles n’aura strictement rien apporté au monde et à la civilisation si ce n’est le chaos et la barbarie. Ce livre écrit par un ancien de l’Algérie française illustrera notre propos en parcourant succinctement une période très douloureuse de l’histoire de l’Occident chrétien au cours de laquelle les pirates musulmans de l’Empire ottoman constituaient une impitoyable force militaire fanatisée au service du Djihad et du sultan, semant la terreur sur les côtes et réduisant les populations à l’esclavage le plus brutal. L’auteur insiste sur ce point historique et il a raison :
« Jamais l’Europe, la civilisation chrétienne, n’ont connu une menace aussi grave, vitale, puissante et unifiée que la menace turque islamique. Durant ce long siècle (1450-1571), la Méditerranée turque était devenue un immense et productif camp de concentration pour chrétiens. » (p. 225).
On signalera que parmi les plus terribles chefs de ces massacreurs de chrétiens et violeurs de chrétiennes (et de jeunes chrétiens), beaucoup étaient des esclaves renégats (siciliens, macédoniens, espagnols, hongrois…) et que seul le fameux Dragut, surnommé « l’Épée trempée de l’Islam » était d’origine turque. Cette déplorable réalité s’explique certes par l’appât du gain, mais aussi et surtout par une vieille tradition turque initiée par le sultan Orkhân et que l’on appelait le devshirme (ou devchirmé), une sorte de programmation MK-Ultra islamique où de jeunes chrétiens étaient violés par leurs maitres puis endoctrinés, constituant au fil du temps la troupe d’élite des armées ottomanes : les terribles Janissaires. Signalons toutefois que cette pratique ancestrale et ignoble n’est pas l’apanage des musulmans. Elle a été utilisée par de nombreuses élites païennes pendant l’Antiquité, tout comme l’esclavage. Rappelons aussi pour l’anecdote que le fidèle lieutenant de l’indestructible Kher-El Din/Barberousse se faisait appeler Sinan le Juif…
L’Algérie était ainsi la plaque tournante d’un commerce d’esclaves chrétiens extrêmement fructueux, esclaves soumis à un régime inhumain et à un peuple d’une cruauté inqualifiable. On pensera par exemple au martyre du Père Jean Le Vacher et à sa mort aussi ignoble qu’héroïque, et au sort réservé à des milliers de prisonniers envoyés ramer dans des galères turques auxquels on infligeait les pires tortures. Un chapitre est évidemment consacré à la bataille de Lépante à laquelle, hélas, la France ne participa pas, alliance franco-turque oblige… Cet ouvrage, qui complètera ceux de l’historien Jacques Heers et de Laurent Lagartempe sur ce sujet difficile, aura le mérite de nous rappeler à la mémoire de toutes ces victimes oubliées de l’Histoire qu’une propagande malveillante tente depuis quelques années d’instrumentaliser afin de pousser les Occidentaux à sortir les armes contre des musulmans vindicatifs et ainsi provoquer un conflit sanglant qui ne profitera bien évidemment ni aux uns ni aux autres.
Éditions Dualpha, 2018, 356 p., 35 €
I. C.
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