Certes la Police a la fâcheuse habitude de courir après des PV. Même si certains sont les premiers à regretter (en privé) l’obligation qu’ils ont d’engraisser Paris-Matignon et consorts. Ceci dit, à force d’obéir ainsi, ils iront jusqu’à s’en prendre à de pauvres français de souche qui ne font que défendre leurs femmes, leurs enfants et leurs biens. Cela a déjà commencé. Il est grand temps pour eux de remettre en question la définition d’autorité qu’on leur a inculquée. C’est-à-dire supprimer la référence marxiste, pour la remplacer par la thomiste. En attendant, la peur a déjà remplacé le sang-froid chez ce policier…
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Mantes-la-Jolie : encore un guet-apens anti-flics !
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Un modus operandi devenu banal
Appelés vers 22 h 30 pour une fausse alerte à la voiture brûlée dans cette cité abandonnée à l’immigration et à la délinquance, les agents de la BAC ont immédiatement été bombardés de cocktails Molotov par une centaine de voyous ethniques, agissant avec la même détermination criminelle que ceux de La Grande Borne. Le modus operandi était d’ailleurs presque identique : fausse alerte, bouteilles incendiaires prêtes à servir, éclairage public préalablement saboté…
Dans un pays sain, une telle pratique entraînerait immédiatement une riposte violente. Or, démontrant une fois de plus son incompétence, Cazeneuve s’est empressé de saluer, dimanche, le « sang-froid » des policiers, « qui ont su repousser les assaillants » sans faire de blessé ! Car là est aujourd’hui l’essentiel : surtout ne pas se servir de son arme. Quitte à s4 faire lynché ou à être brûlé vif dans son véhicule.
Exit la police de Broussard ou du « Chinois », qui n’hésitait pas à « défourailler » : le policier modèle est devenu le « policier cible ».
Emblématique de cette évolution est Kevin Philippy, cet adjoint de sécurité qui, après avoir failli brûler avec sa collègue, reçu des coups de barre de fer sans broncher et pris la fuite devant des manifestants d’ultra-gauche, s’est vu décerner la médaille d’or de la sécurité intérieure et a été promu gardien de la paix. Avec ces mots du ministre : « Il incarne le visage de la police, de tous les policiers et gendarmes de France ! »
Et le récipiendaire, qui a bien perçu cette évolution, a confié de son côté : « Si j’avais sorti mon arme ou donné des coups, je serais passé du statut de héros à zéro. Ma carrière aurait pu se terminer là. »
FRANCK DELÉTRAZ
Présent, n°8716, 18 octobre 2016