Nous proposons, en complément de la lecture de l’ouvrage d’Emmanuel Barbier, cette courte étude centrée sur un sujet primordial : la très grave compromission d’une certaine branche du peuple de Dieu avec les plus ignobles divinités païennes si justement abhorrées et flétries par Notre Seigneur dans l’Ancien Testament. Sujet plus que d’actualité puisque les sionistes et leurs chefs secrets, il n’est pas inutile d’insister sur ce point important, sont les descendants directs de ces prévaricateurs sacrilèges, adeptes de cultes génocidaires empruntés aux Moabites, aux Ammonites ou encore aux Phéniciens et leur Dieu Moloch (Saturne ou Mercure), le dévoreur d’enfants. On appréciera les importants parallèles établis entre ces entités venues d’Orient et celles adorées par les Grecs ou les Égyptiens, comme par exemple l’immonde Belphégor qui était en fait, d’après saint Jérôme, l’équivalent du « Dieu » Priape. Gageons en effet que sur la tristement célèbre île de Jeffrey Epstein, agent du Mossad et détraqué sexuel (cela va de pair en général), nous aurions eu beaucoup plus de chance de tomber sur une statue représentant Pan, le démon pédophile ou la prostituée Aphrodite qu’une production artistique évoquant le prophète Daniel ou le prêtre Aaron… Un texte fort savant rédigé par Dom Calmet et commenté par l’érudit Paul Drach, juif converti et ami de l’inestimable auteur catholique, le chevalier Gougenot des Mousseaux.
Éditions Saint Rémi, 2008, 52 pages, 5 €
I. C.
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