Macron est une engeance directe et fignolée du système actuel, en termes de vision « politique ». Un technocrate pur-jus, totalement incapable d’appréhender le néanmoins prépondérant aspect moral de la politique. La preuve par ses derniers propos sur l’histoire de France ; aberration et bêtise totales.
Lu dans Le Bulletin d’André Noël :
Des crimes contre l’humanité à l’argent de Macron
Plaise à Dieu que nous n’ayons jamais à la tête du pays cet ovni inculte nourrit au sein des réseaux sociaux et fabriqué
Bâti des hôpitaux ?
Assaini la terre pour la cultiver ensuite rendant l’Algérie
Empêché les guerres tribales ? Et si nous étions ces tortionnaires, assimilables aux nazis, comment expliquer que des Algériens risquent tous les jours leur vie pour rejoindre le pays de leurs prétendus « bourreaux » ?
D’ailleurs, avant 1962, l’Algérie n’avait jamais été un pays indépendant comme le reconnaissait Ferhat Abbas lui-même.
Mais revenons à l’argent de ce médiocre individu. Emmanuel Macron, pour mieux se distinguer de François Fillon,
Pour ce qui est de ses revenus, il a déclaré à la Haute autorité (ce que l’on peut consulter librement sur son site) :
Donc, de 2009 à son entrée au gouvernement en 2014, il
Or, il a déclaré à l’HATVP que sur ses différents comptes bancaires (compte courant et épargne) il n’a « que » 109.000 €. Il aurait donc dépensé la quasi-totalité de ses 3,6 millions € gagnés à la banque qui l’employait. Où est passé le reste ? A-t-il tout dépensé en aussi peu de temps ? Or, il semble mener un train de vie sans éclat et, apparemment, il n’a pas de vice caché et coûteux. D’autant que pour son patrimoine
Un prêt de 350.000 € en 2011 pour des travaux de résidence secondaire, dont 295.000 € qui restaient à rembourser et des mensualités de 2.424,30 €.
— Un autre de 600.000 € en 2012 pour refinancer son prêt d’achat de résidence principale, dont 558.577,53 € encore à rembourser et des mensualités de 3.623,34 €.
Un « prêt personnel entre particuliers » de 550.000 € en 2007, dont 200.000 € encore à rembourser (100.000 € en 2017, 100.000 € en 2022, auxquels s’ajoutent des intérêts)
On le voit, il emprunte beaucoup, et pas seulement auprès des banques alors qu’il aurait pu autofinancer ses projets immobiliers.
Et cela pose question. Comment, compte tenu des revenus de la période 2009-2014, M. Macron ne dispose-t-il pas d’un patrimoine plus important ? Où est passé l’argent gagné chez Rothschild ? La Haute autorité, quand il s’agit d’Emmanuel Macron, n’est pas d’une grande curiosité ; elle n’a pas fait de
Une autre hypothèse court sur les réseaux sociaux et sur laquelle certains journalistes enquêtent : pour un banquier, mettre de l’argent à l’abri du fisc (et de l’ISF) sur un compte à
Il est vrai qu’il n’y est pas légalement obligé, mais la « transparence » dont il se réclame va au-delà des exigences légales pour dissiper tout soupçon. Que fait donc Tracfin, cette cellule gouvernementale qui analyse et traque les moindres tractations financières et renseigne le fisc sur le plus petit
Un des porte-parole d’Emmanuel Macron, a affirmé au Journal du dimanche, le 12 février : « Son patrimoine a déjà été passé aux rayons X, mais, s’il reste des zones d’ombre, nous sommes prêts à les éclairer. » Or, sollicitée dès le lendemain, l’équipe de M. Macron n’a pas répondu a plusieurs questions qui lui ont été posées, d’abord par des journalistes indépendants puis ceux du Monde et notamment celles-ci : conteste-t-il le décalage entre ses revenus déclarés et son patrimoine ? A-t-il des informations supplémentaires sur ses dépenses qui pourraient expliquer cet écart ? Est-il prêt à communiquer ses
Aucune réponse à ce jour…
Il y a un autre homme de gauche qui mérite d’être interpellé sur cette question financière, c’est Martin Schulz, leader social-démocrate qui veut succéder à Merkel et qui fut, jusqu’à une date récente, président du Parlement européen. À ce poste, il fut l’un des procureurs les plus implacables contre des élus du Front national et, notamment, de Marine Le Pen. Laquelle est sommée de rembourser quelque 340.000 € représentant le
La présidente de la Commission de contrôle, Ingeborg Grässle, a déclaré que l’ex-président du Parlement européen avait créé un véritable « système stalinien de clientélisme » et qu’il fallait procéder à des investigations pour fraude. Parmi les accusations dont il est l’objet, il y a le fait qu’il a nommé, au sein de l’administration du Parlement, de nombreux proches à des postes généreusement rétribués sans passer par les procédures régulières de recrutement. C’est l’arroseur arrosé !
P.R.
Le Bulletin d’André Noël, n°2505, 20-26 février 2017